D’après Wikipédia ; « L'écologie, ou écologie scientifique, est une science qui étudie les interactions des êtres vivants entre eux et avec leur milieu. L'ensemble des êtres vivants, de leur milieu de vie et des relations qu'ils entretiennent forme un écosystème. L'écologie fait partie intégrante de la discipline plus vaste qu'est la science de l'environnement (ou science environnementale). » Lire plus
C’est à une
course effrénée contre ce que j’appelerai, ici, l’entropie environnementale, que
se livrent aussi bien, écologistes (militants) qu’ « écologues »
(scientifiques). On peut espérer, un jour, voir la lumière au bout du tunnel,
grâce à cette science. Elle porte tous les espoirs de la Terre.
Ecologie,
dites-vous ?
Mais les
climato-sceptiques ne croient pas à la dégradation des conditions climatiques,
et encore moins, à une science sensée y faire face. Des centres de pouvoir
économique influents préfèrent nier les dommages causés à la planète terre
plutôt que renoncer aux gains dégagés par le biais de l’industrialisation
sauvage, la sur-exploitation des sols, l’élevage de masse de bétail ….
L’écologie
est une science en construction. Elle essaie d’affiner les concepts et les
outils pour pouvoir faire face à des phénomènes qui sont nouveaux et extrêmes.
Changement climatique, production de déchets et absence de recyclage,
dégradation des sols, pollution plastique des mers, érosion des plateaux de
corail et la liste est encore longue. L’écologie ne peut être qu’une science
militante. Le diagnostic est établi et
les interventions ne peuvent être que consensuelles.
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