Intelligence inutile
Un monsieur,
un peu niais voit un jour une petite annonce dans le journal : "Pour une
somme raisonnable, venez augmenter votre intelligence chez le professeur Maestro."
Ravi de
cette opportunité, il se rend sur le champ chez le professeur et débourse la
somme demandée. Le professeur le fait monter dans sa machine et lui demande :
"Quel niveau d'intelligence souhaiteriez-
vous atteindre?
- Le niveau
maximal ! Je veux être vraiment très intelligent !"Le
professeur s'exécute, ferme la porte de l'engin, tourne le bouton au maximum et
met la machine en marche. Elle commence à ronronner et à clignoter. Au bout de
cinq minutes, tout s'arrête et le professeur fait sortir son client. Celui-ci
est ravi et s'en retourne chez lui.
Quelques
jours plus tard, le client revient, absolument désespéré. "Professeur,
s'il vous plaît, aidez-moi ! Maintenant que je suis intelligent, j'ai compris
que mes amis me volent, que les humains sont des prédateurs, que la morale n’est
qu’un vernis et que tout n'est que
bêtise et laideur sur cette Terre ! Rendez-moi à nouveau bête, que je puisse reprendre
le cours de mon ancienne vie..."
Le
professeur le fait remonter dans sa machine, tourne le bouton dans l'autre
sens, mais tout à coup la machine s'emballe et le bouton reste bloqué tout en
bas. S'en suit un vacarme impitoyable et beaucoup de fumée.
"Mon
Dieu, qu'ai-je fait ? J'ai dû créer un monstre ?"
Quand tout
s'arrête, il court ouvrir la porte de l'engin au pauvre homme à l'intérieur.
Mais ce dernier n'a pas l'air d'aller si mal. Il sort de la machine, en fait le
tour, et s'adresse au professeur d'un ton sévère : " Police ! Vos
papiers, s'il-vous-plaît !".
Le Pape et son chauffeur
Après
avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre de la
limousine, le chauffeur réalise que le Pape est resté sur le
trottoir.
–
Excusez-moi, Votre Sainteté », dit le chauffeur. « Voudriez-vous,
je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ?
–
Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me
laisser conduire au Vatican, et j’aimerais beaucoup pouvoir le
faire aujourd’hui.
–
Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela.
Je perdrais mon job ! Et que faire s’il arrive quelque chose
?, proteste le chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce
matin là.
– Je ferai quelque chose de spécial pour vous, dit le Pape.
De
mauvaise grâce, le chauffeur passe à l’arrière et le Pape
s’installe derrière le volant. Très vite le chauffeur regrette
sa décision, quand après avoir quitté l’aéroport, le souverain
pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu’à 140 km/h.
–
Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez !, implore le
chauffeur très inquiet. Mais le Pape continue jusqu’à ce que
les sirènes de police retentissent.
– Je vais perdre mon permis, s’écrie le chauffeur.
Le
Pape se range sur le coté et baisse sa vitre quand le
policier s’approche. Dès que celui-ci voit le Pape, il retourne à
sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu’il a arrêté
une limousine roulant à 140 km/h.
– Où est le problème ? Bouclez-le !, dit le chef de police.
– Je ne pense pas qu’on puisse faire ça, c’est quelqu’un de très important, dit le policier.
Le chef s’exclame : « Il n’y a pas de raison ! »
-« Non, je veux dire réellement important, dit le policier.
Le chef demande alors : « Qui avez-vous coincé ? Le maire ? »
Le policier : « Plus gros. »
Le chef : « Un sénateur ? »
Le policier : « Beaucoup PLUS GROS. »
Le chef : « Bien ! Dites-moi qui c’est ! »
Le policier : « Je pense que c’est Dieu lui-même ! »
Le chef : « Vous vous moquez de moi ? Qu’est-ce qui vous fait croire que c’est Dieu ? »
Le policier : « Il a le Pape comme chauffeur ! »
Petite
histoire du « fake »
Le phénomène
des trolls sur Internet remonte aux premiers forums et chats en ligne des
années 90. Les trolls, souvent motivés par le désir de provoquer ou de
perturber, utilisaient des messages incendiaires pour déclencher des conflits.
À la même époque, les premiers bots faisaient leur apparition. Programmés pour
effectuer des tâches automatisées, les bots servaient initialement des
fonctions bénignes, comme modérer des discussions ou fournir des réponses
automatiques.
Les fake
news (fausses nouvelles) ont toujours existé, mais leur propagation a explosé
avec l'avènement des réseaux sociaux. Au début des années 2010, des sites comme
Facebook et Twitter sont devenus des plateformes de choix pour la diffusion
rapide de fausses informations. Les fake news sont souvent conçues pour attirer
l'attention et provoquer des réactions émotionnelles fortes, rendant leur
propagation plus virale.
Les fake
news peuvent être motivées par divers objectifs : influence politique, gains
financiers, ou simple désir de tromper. Par exemple, durant l'élection
présidentielle américaine de 2016, de nombreuses fake news ont été diffusées
pour influencer l'opinion publique et désorienter les électeurs.
Les bots,
quant à eux, ont évolué pour devenir des outils puissants de manipulation de
l'information. Des armées de bots peuvent générer et amplifier du contenu,
créant une illusion de consensus ou de controverse. Ils peuvent inonder les
réseaux sociaux de messages soutenant une position particulière ou attaquant
des opposants, influençant ainsi les perceptions et opinions publiques.
Les deep
fakes représentent la dernière avancée technologique en matière de
désinformation. Utilisant l'intelligence artificielle pour créer des vidéos et
des enregistrements audio hyperréalistes de personnes disant ou faisant des
choses qu'elles n'ont jamais dites ou faites, les deep fakes constituent une
menace sérieuse. Ils peuvent être utilisés pour discréditer des personnalités
publiques, manipuler l'opinion publique, ou créer de fausses preuves dans des
contextes judiciaires ou politiques.
L'impact de
ces technologies sur les élections est considérable. Des campagnes de
désinformation bien orchestrées peuvent changer le cours d'une élection en
semant la confusion, en divisant les électeurs ou en détournant l'attention des
véritables enjeux. Les trolls et bots peuvent inonder les plateformes de
discours polarisants, tandis que les deep fakes peuvent discréditer des
candidats en un clin d'œil.
Au fil des
ans, les méthodes de manipulation en ligne sont devenues de plus en plus
sophistiquées. Les acteurs malveillants utilisent des techniques de ciblage
psychographique pour diffuser des messages personnalisés aux utilisateurs les
plus vulnérables. Les algorithmes des réseaux sociaux, conçus pour maximiser
l'engagement, favorisent souvent la diffusion de contenu sensationnaliste ou
polarisant, exacerbant ainsi les divisions sociales et politiques.
Face à ces
menaces, diverses mesures ont été mises en place. Les plateformes de médias
sociaux investissent dans des technologies de détection de fake news et de
bots. Les gouvernements et les organisations non gouvernementales (ONG)
sensibilisent le public aux dangers de la désinformation. Des législations sont
également en cours d'élaboration pour réguler l'utilisation des technologies de
deep fake et renforcer la transparence des sources d'information.
L'emprise du
faux sur les consciences est un phénomène complexe et évolutif. La lutte contre
la désinformation et la manipulation requiert une vigilance constante, une
éducation aux médias renforcée et des efforts collaboratifs entre les
plateformes technologiques, les gouvernements et la société civile.
AMUSANT: Marchandage
-
Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements.
Je viens chez vous parce que j'ai horreur de marchander
- Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu'est-ce qui vous tente, chez nous ?
- Ce jean. Combien vaut-il ?
-
Il est affiché à 290 DH., mais je ne vais pas vous en réclamer 270 DH,
ni même 250... A titre amical, je vous le laisse à 220 !
-
Votre manière de faire des affaires me plaît ! C'est pourquoi je ne
m'abaisserai pas à vous offrir seulement 160, ni même 180, Si vous me le
faites à 200, je le prends.
- Disons 210 et n'en parlons plus !
- Marché conclu !
Et ce que c'est agréable, à notre époque, de pouvoir faire ses achats sans être obligé de tout marchander
Sauvé de Microsoft!
Désespéré
de ne trouver aucun travail, un chômeur accepte de se rendre à un
entretien d’embauche pour un poste de nettoyeur des toilettes chez
Microsoft-Europe. Le DRH lui fait passer un entretien, puis de nombreux
tests et lui dit :
-
Félicitations : vous êtes engagé ! Donnez-moi votre email et je vous
enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure
auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail.
L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore
moins d’email. Stupéfait, le DRH de Microsoft lui répond que s’il n’a
pas d’email, cela signifie que, virtuellement, il n’existe pas. Il ne
peut pas embaucher quelqu’un qui n’existe pas. Le moral de notre homme
est au plus bas. Il n’a plus rien en poche. Il rentre chez lui et
constate qu’il n’a rien à manger, à part quelques tomates dans son
frigidaire. Ayant une immense envie de hamburger, il prend ses tomates,
les lave soigneusement, puis fait du porte à-porte pour les vendre. Cela
fonctionne si bien qu’il fonce au supermarché, rachète des tomates et
les vend à nouveau en porte-à-porte. Il répète l’opération toute la
soirée et revient chez lui avec plus de 100 euros. Il réalise alors
qu’il pourrait survivre de cette manière. Chaque jour, il part de chez
lui très tôt et vend ses tomates dans sa rue, puis dans son quartier,
puis dans la ville entière, se formant une clientèle d’habitués fidèles.
Peu de temps après, il s’équipe d’un camion de livraison, puis acquiert
progressivement une petite flotte de véhicules et se met à embaucher
des chauffeurs. Quatre ans plus tard, l’homme est propriétaire d’une des
plus grandes sociétés de distribution alimentaire d’Europe. Il pense
alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie. Il
appelle un assureur, le rencontre et choisit son contrat. Quand la
conversation se termine, l’assureur lui demande son email pour lui
envoyer la proposition. L’homme répond qu’il n’a pas d’email.
-
Incroyable ! lui dit l’assureur. Vous n’avez pas d’email et vous êtes
arrivé à construire cet empire ! Imaginez ce que à quoi vous seriez
arrivé si vous aviez un email ! L’homme réfléchit un instant, puis
répond :
- Je serais en train de nettoyer les toilettes chez Microsoft !
Logique d'avocat
Suite
à des recherches, un organisme de bienfaisance local s'est rendu compte
qu'il n'avait jamais reçu de don de l'avocat le plus prospère de la
ville.
Un bénévole rend donc visite à l'avocat pour en connaître la raison.
L'avocat
réfléchit une minute et dit : « Premièrement, vos recherches ont-elles
démontrées que ma mère est en train de mourir après une longue maladie
douloureuse, et qu'elle a des factures médicales qui dépassent de loin
sa capacité de payer ? »
Gêné, le représentant marmonne : « Euh... Non, je ne le savais pas. »
« Deuxièmement »,
dit l'avocat, « saviez-vous que mon frère, un vétéran handicapé, est
aveugle et confiné à un fauteuil roulant et est incapable de subvenir
aux besoins de sa femme et de ses six enfants? »
Le représentant commence à balbutier des excuses, mais est à nouveau coupé.
« Troisièmement,
vos recherches ont-elles aussi démontrées que le mari de ma sœur est
décédé dans un terrible accident de voiture, la laissant sans le sou
avec une hypothèque et trois enfants à charge ? »
Le représentant humilié, complètement abasourdi, dit: «Je suis vraiment désolé. Je n'en avais aucune idée. »
Et
l'avocat réplique : « Donc, si je ne leur ai pas donné d'argent,
qu'est-ce qui vous fait croire que je vous en donnerais à vous ? »
Intelligence inutile
Un monsieur,
un peu niais voit un jour une petite annonce dans le journal : "Pour une
somme raisonnable, venez augmenter votre intelligence chez le professeur Maestro."
Ravi de cette opportunité, il se rend sur le champ chez le professeur et débourse la somme demandée. Le professeur le fait monter dans sa machine et lui demande : "Quel niveau d'intelligence souhaiteriez-
vous atteindre?
- Le niveau
maximal ! Je veux être vraiment très intelligent !"Le
professeur s'exécute, ferme la porte de l'engin, tourne le bouton au maximum et
met la machine en marche. Elle commence à ronronner et à clignoter. Au bout de
cinq minutes, tout s'arrête et le professeur fait sortir son client. Celui-ci
est ravi et s'en retourne chez lui.
Quelques
jours plus tard, le client revient, absolument désespéré. "Professeur,
s'il vous plaît, aidez-moi ! Maintenant que je suis intelligent, j'ai compris
que mes amis me volent, que les humains sont des prédateurs, que la morale n’est
qu’un vernis et que tout n'est que
bêtise et laideur sur cette Terre ! Rendez-moi à nouveau bête, que je puisse reprendre
le cours de mon ancienne vie..."
Le
professeur le fait remonter dans sa machine, tourne le bouton dans l'autre
sens, mais tout à coup la machine s'emballe et le bouton reste bloqué tout en
bas. S'en suit un vacarme impitoyable et beaucoup de fumée.
"Mon
Dieu, qu'ai-je fait ? J'ai dû créer un monstre ?"
Le Pape et son chauffeur
Après
avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre de la
limousine, le chauffeur réalise que le Pape est resté sur le
trottoir.
–
Excusez-moi, Votre Sainteté », dit le chauffeur. « Voudriez-vous,
je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ?
–
Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me
laisser conduire au Vatican, et j’aimerais beaucoup pouvoir le
faire aujourd’hui.
–
Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela.
Je perdrais mon job ! Et que faire s’il arrive quelque chose
?, proteste le chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce
matin là.
– Je ferai quelque chose de spécial pour vous, dit le Pape.
De
mauvaise grâce, le chauffeur passe à l’arrière et le Pape
s’installe derrière le volant. Très vite le chauffeur regrette
sa décision, quand après avoir quitté l’aéroport, le souverain
pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu’à 140 km/h.
–
Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez !, implore le
chauffeur très inquiet. Mais le Pape continue jusqu’à ce que
les sirènes de police retentissent.
– Je vais perdre mon permis, s’écrie le chauffeur.
Le
Pape se range sur le coté et baisse sa vitre quand le
policier s’approche. Dès que celui-ci voit le Pape, il retourne à
sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu’il a arrêté
une limousine roulant à 140 km/h.
– Où est le problème ? Bouclez-le !, dit le chef de police.
– Je ne pense pas qu’on puisse faire ça, c’est quelqu’un de très important, dit le policier.
Le chef s’exclame : « Il n’y a pas de raison ! »
-« Non, je veux dire réellement important, dit le policier.
Le chef demande alors : « Qui avez-vous coincé ? Le maire ? »
Le policier : « Plus gros. »
Le chef : « Un sénateur ? »
Le policier : « Beaucoup PLUS GROS. »
Le chef : « Bien ! Dites-moi qui c’est ! »
Le policier : « Je pense que c’est Dieu lui-même ! »
Le chef : « Vous vous moquez de moi ? Qu’est-ce qui vous fait croire que c’est Dieu ? »
Le policier : « Il a le Pape comme chauffeur ! »
Petite
histoire du « fake »
Le phénomène
des trolls sur Internet remonte aux premiers forums et chats en ligne des
années 90. Les trolls, souvent motivés par le désir de provoquer ou de
perturber, utilisaient des messages incendiaires pour déclencher des conflits.
À la même époque, les premiers bots faisaient leur apparition. Programmés pour
effectuer des tâches automatisées, les bots servaient initialement des
fonctions bénignes, comme modérer des discussions ou fournir des réponses
automatiques.
Les fake
news (fausses nouvelles) ont toujours existé, mais leur propagation a explosé
avec l'avènement des réseaux sociaux. Au début des années 2010, des sites comme
Facebook et Twitter sont devenus des plateformes de choix pour la diffusion
rapide de fausses informations. Les fake news sont souvent conçues pour attirer
l'attention et provoquer des réactions émotionnelles fortes, rendant leur
propagation plus virale.
Les fake
news peuvent être motivées par divers objectifs : influence politique, gains
financiers, ou simple désir de tromper. Par exemple, durant l'élection
présidentielle américaine de 2016, de nombreuses fake news ont été diffusées
pour influencer l'opinion publique et désorienter les électeurs.
Les bots,
quant à eux, ont évolué pour devenir des outils puissants de manipulation de
l'information. Des armées de bots peuvent générer et amplifier du contenu,
créant une illusion de consensus ou de controverse. Ils peuvent inonder les
réseaux sociaux de messages soutenant une position particulière ou attaquant
des opposants, influençant ainsi les perceptions et opinions publiques.
Les deep
fakes représentent la dernière avancée technologique en matière de
désinformation. Utilisant l'intelligence artificielle pour créer des vidéos et
des enregistrements audio hyperréalistes de personnes disant ou faisant des
choses qu'elles n'ont jamais dites ou faites, les deep fakes constituent une
menace sérieuse. Ils peuvent être utilisés pour discréditer des personnalités
publiques, manipuler l'opinion publique, ou créer de fausses preuves dans des
contextes judiciaires ou politiques.
L'impact de
ces technologies sur les élections est considérable. Des campagnes de
désinformation bien orchestrées peuvent changer le cours d'une élection en
semant la confusion, en divisant les électeurs ou en détournant l'attention des
véritables enjeux. Les trolls et bots peuvent inonder les plateformes de
discours polarisants, tandis que les deep fakes peuvent discréditer des
candidats en un clin d'œil.
Au fil des
ans, les méthodes de manipulation en ligne sont devenues de plus en plus
sophistiquées. Les acteurs malveillants utilisent des techniques de ciblage
psychographique pour diffuser des messages personnalisés aux utilisateurs les
plus vulnérables. Les algorithmes des réseaux sociaux, conçus pour maximiser
l'engagement, favorisent souvent la diffusion de contenu sensationnaliste ou
polarisant, exacerbant ainsi les divisions sociales et politiques.
Face à ces
menaces, diverses mesures ont été mises en place. Les plateformes de médias
sociaux investissent dans des technologies de détection de fake news et de
bots. Les gouvernements et les organisations non gouvernementales (ONG)
sensibilisent le public aux dangers de la désinformation. Des législations sont
également en cours d'élaboration pour réguler l'utilisation des technologies de
deep fake et renforcer la transparence des sources d'information.
L'emprise du faux sur les consciences est un phénomène complexe et évolutif. La lutte contre la désinformation et la manipulation requiert une vigilance constante, une éducation aux médias renforcée et des efforts collaboratifs entre les plateformes technologiques, les gouvernements et la société civile.
AMUSANT: Marchandage
-
Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements.
Je viens chez vous parce que j'ai horreur de marchander
- Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu'est-ce qui vous tente, chez nous ?
- Ce jean. Combien vaut-il ?
-
Il est affiché à 290 DH., mais je ne vais pas vous en réclamer 270 DH,
ni même 250... A titre amical, je vous le laisse à 220 !
-
Votre manière de faire des affaires me plaît ! C'est pourquoi je ne
m'abaisserai pas à vous offrir seulement 160, ni même 180, Si vous me le
faites à 200, je le prends.
- Disons 210 et n'en parlons plus !
- Marché conclu !
Sauvé de Microsoft!
Désespéré
de ne trouver aucun travail, un chômeur accepte de se rendre à un
entretien d’embauche pour un poste de nettoyeur des toilettes chez
Microsoft-Europe. Le DRH lui fait passer un entretien, puis de nombreux
tests et lui dit :
-
Félicitations : vous êtes engagé ! Donnez-moi votre email et je vous
enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure
auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail.
L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore
moins d’email. Stupéfait, le DRH de Microsoft lui répond que s’il n’a
pas d’email, cela signifie que, virtuellement, il n’existe pas. Il ne
peut pas embaucher quelqu’un qui n’existe pas. Le moral de notre homme
est au plus bas. Il n’a plus rien en poche. Il rentre chez lui et
constate qu’il n’a rien à manger, à part quelques tomates dans son
frigidaire. Ayant une immense envie de hamburger, il prend ses tomates,
les lave soigneusement, puis fait du porte à-porte pour les vendre. Cela
fonctionne si bien qu’il fonce au supermarché, rachète des tomates et
les vend à nouveau en porte-à-porte. Il répète l’opération toute la
soirée et revient chez lui avec plus de 100 euros. Il réalise alors
qu’il pourrait survivre de cette manière. Chaque jour, il part de chez
lui très tôt et vend ses tomates dans sa rue, puis dans son quartier,
puis dans la ville entière, se formant une clientèle d’habitués fidèles.
Peu de temps après, il s’équipe d’un camion de livraison, puis acquiert
progressivement une petite flotte de véhicules et se met à embaucher
des chauffeurs. Quatre ans plus tard, l’homme est propriétaire d’une des
plus grandes sociétés de distribution alimentaire d’Europe. Il pense
alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie. Il
appelle un assureur, le rencontre et choisit son contrat. Quand la
conversation se termine, l’assureur lui demande son email pour lui
envoyer la proposition. L’homme répond qu’il n’a pas d’email.
-
Incroyable ! lui dit l’assureur. Vous n’avez pas d’email et vous êtes
arrivé à construire cet empire ! Imaginez ce que à quoi vous seriez
arrivé si vous aviez un email ! L’homme réfléchit un instant, puis
répond :
- Je serais en train de nettoyer les toilettes chez Microsoft !
Désespéré de ne trouver aucun travail, un chômeur accepte de se rendre à un entretien d’embauche pour un poste de nettoyeur des toilettes chez Microsoft-Europe. Le DRH lui fait passer un entretien, puis de nombreux tests et lui dit :
- Félicitations : vous êtes engagé ! Donnez-moi votre email et je vous enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail. L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore moins d’email. Stupéfait, le DRH de Microsoft lui répond que s’il n’a pas d’email, cela signifie que, virtuellement, il n’existe pas. Il ne peut pas embaucher quelqu’un qui n’existe pas. Le moral de notre homme est au plus bas. Il n’a plus rien en poche. Il rentre chez lui et constate qu’il n’a rien à manger, à part quelques tomates dans son frigidaire. Ayant une immense envie de hamburger, il prend ses tomates, les lave soigneusement, puis fait du porte à-porte pour les vendre. Cela fonctionne si bien qu’il fonce au supermarché, rachète des tomates et les vend à nouveau en porte-à-porte. Il répète l’opération toute la soirée et revient chez lui avec plus de 100 euros. Il réalise alors qu’il pourrait survivre de cette manière. Chaque jour, il part de chez lui très tôt et vend ses tomates dans sa rue, puis dans son quartier, puis dans la ville entière, se formant une clientèle d’habitués fidèles. Peu de temps après, il s’équipe d’un camion de livraison, puis acquiert progressivement une petite flotte de véhicules et se met à embaucher des chauffeurs. Quatre ans plus tard, l’homme est propriétaire d’une des plus grandes sociétés de distribution alimentaire d’Europe. Il pense alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie. Il appelle un assureur, le rencontre et choisit son contrat. Quand la conversation se termine, l’assureur lui demande son email pour lui envoyer la proposition. L’homme répond qu’il n’a pas d’email.
- Incroyable ! lui dit l’assureur. Vous n’avez pas d’email et vous êtes arrivé à construire cet empire ! Imaginez ce que à quoi vous seriez arrivé si vous aviez un email ! L’homme réfléchit un instant, puis répond :
- Je serais en train de nettoyer les toilettes chez Microsoft !
Logique d'avocat
Suite à des recherches, un organisme de bienfaisance local s'est rendu compte qu'il n'avait jamais reçu de don de l'avocat le plus prospère de la ville.
Un bénévole rend donc visite à l'avocat pour en connaître la raison.
L'avocat réfléchit une minute et dit : « Premièrement, vos recherches ont-elles démontrées que ma mère est en train de mourir après une longue maladie douloureuse, et qu'elle a des factures médicales qui dépassent de loin sa capacité de payer ? »
Gêné, le représentant marmonne : « Euh... Non, je ne le savais pas. »
« Deuxièmement », dit l'avocat, « saviez-vous que mon frère, un vétéran handicapé, est aveugle et confiné à un fauteuil roulant et est incapable de subvenir aux besoins de sa femme et de ses six enfants? »
Le représentant commence à balbutier des excuses, mais est à nouveau coupé.
« Troisièmement, vos recherches ont-elles aussi démontrées que le mari de ma sœur est décédé dans un terrible accident de voiture, la laissant sans le sou avec une hypothèque et trois enfants à charge ? »
Le représentant humilié, complètement abasourdi, dit: «Je suis vraiment désolé. Je n'en avais aucune idée. »
Et l'avocat réplique : « Donc, si je ne leur ai pas donné d'argent, qu'est-ce qui vous fait croire que je vous en donnerais à vous ? »
AMUSANT: Une histoire (supposément) vraie, mais amusante
Un avocat de Charlotteville (Caroline du Nord États-Unis ) avait acheté une boîte de 24 cigares très rares et très chers et les a ensuite assurés contre le feu entre autres.
Dans le mois qui suivit, ayant consommé son entière réserve de cigares et n'ayant pas encore effectué le premier paiement de sa police d'assurance, l'avocat envoya une réclamation à sa compagnie d'assurance. Dans sa réclamation, l'avocat indiqua que les cigares avaient été perdus "dans une série de petits incendies".
La compagnie d'assurance refusa de payer en citant la raison évidente : que l'homme avait consommé les cigares de façon normale.
L'avocat intenta une poursuite... ET LA GAGNA!
En délivrant son verdict le juge fut d'accord avec la compagnie d'assurance que la réclamation était de nature tout à fait frivole. Le juge indiqua cependant que l'avocat détenait une police de la compagnie qui garantissait que les cigares étaient assurés et que ces derniers étaient absolument protégés contre le feu sans définir ce qui constituait un incendie "acceptable". Le juge déclara donc la compagnie dans l'obligation de rembourser l'avocat.
Au lieu d'avoir à endurer des procédures d'appel longues et coûteuses, la compagnie d'assurance accepta le jugement et paya donc 15000 dollars à l'avocat pour sa perte de ses précieux cigares dû aux regrettables "incendies".
MAINTENANT POUR LA MEILLEURE PARTIE...
Une fois que l'avocat eut encaissé le chèque, la compagnie d'assurance le fit arrêter pour 24 chefs d'accusation D'INCENDIES CRIMINELS!!!
Avec sa propre réclamation d'assurance ainsi que son témoignage du procès utilisés contre lui, l'avocat fut accusé d'avoir volontairement incendié une propriété assurée afin de toucher le montant d'assurance. Il fut condamné à 24 mois de prison ainsi qu'à une amende de 24 000 dollars.
AMUSANT: WIFI
Dans
le cadre de fouilles dans le sous-sol russe jusqu'à 100m de profondeur,
les scientifiques russes ont trouvé des vestiges de fil de cuivre qui
dataient d'environ 1000 ans.
Les Russes en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 1000 ans d'un réseau de fil de cuivre.
Les
Américains, pour faire bonne mesure, ont également procédé à des
fouilles dans leur sous-sol jusqu'à une profondeur de 2000m.
Ils y ont trouvé des restes de fibre de verre. Il s'est avéré qu'elles avaient environ 2000 ans.
Les
Américains en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a
2000 ans d'un réseau de fibre de verre numérique. Et cela, 1000 ans
avant les Russes!
Une semaine plus tard, en Belgique publie le
communiqué suivant : "Suite à des fouilles dans le sous-sol belge
jusqu'à une profondeur de 5000m les scientifiques belges n'ont rien
trouvé du tout. Ils en concluent que les Anciens Belges disposaient déjà
il y a 5000 ans d'un réseau Wifi.